Voici ma première participation au « Thursday’s Special« , un partage de photos proposé tous les jeudis par Paula sur son blog Lost in translation :
Cette photo de Gatsby était déjà visible sur mon blog photo.
Voici ma première participation au « Thursday’s Special« , un partage de photos proposé tous les jeudis par Paula sur son blog Lost in translation :
Cette photo de Gatsby était déjà visible sur mon blog photo.
Face aux œuvres de Sally Mann, qui met en scène essentiellement ses propres enfants, on ne peut rester indifférent, bien que les sentiments soient parfois mitigés…
« C’est un des talents de Sally Mann que de nous déranger ainsi (…)
Il y a bien sûr chez elle une volonté d’intimité, de simplicité, très naturelle et où le sentiment de provocation vient plus de nos propres inhibitions que d’une perversité photographique (…)
Sally Mann utilise le collodion humide, technique d’il y a plus d’un siècle qu’elle revisite, technique délicate, tactile, picturale, aux antipodes de la modernité technologique froide, technique qui permet l’intervention manuelle de l’artiste, badigeonnant ses plaques d’enduit avec un pinceau, et l’intervention du hasard, poussières et saletés se déposant sur la plaque pour y créer des incongruités, des accidents. Cette culture de l’accident, ce refus de se plier totalement au dictat de la technique parfaite, immaculée, donnent à ses photographies un caractère poignant. » *
L’artiste prie pour la visite de « l’ange de l’incertitude », sorte de valeur ajoutée de l’inattendu, au moment de la capture de ses images.
* http://lunettesrouges.blog.lemonde.fr/2010/08/01/la-perte-de-linnocence-sally-mann/
De l’Angleterre victorienne aux climats exotiques de Ceylan, les photographies de Cameron sont une plongée dans le monde anglo-saxon de la deuxième moitié du XIXe siècle. Le travail de Julia Margaret Cameron est empreint d’une esthétique rappelant celle des Préraphaélites.
Ses portraits sont originaux, car elle emploie des cadrages très rapprochés, en très gros plan, jouant de l’éclairage pour estomper les détails et obtenir des effets de clair obscur. Elle donne ainsi à ses images une impression d’intimité, une intensité psychologique, et une dimension profondément mélancolique.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Julia_Margaret_Cameron
Nous lui devons des chefs d’oeuvre de noir et blanc, aux atmosphères étranges et troublantes.
Silence, La belette, Eva…